"Ne l'oublis pas ! Hurlent les démons dans ma tête, ne l'oublie pas ! Ne l'oublie pas... Et moi comme un con, je les ai écoutés. Alors je n'ai pas t'ai pas oubliée... c'est comme une sorte de course cyclique, tu sais l'image du "serpent qui se mort la queue", cette idée de répétition, rien ne s'arrête jamais... c'est un peu le but en même temps c'est vrai. Mais enfin je ne sais pas trop pourquoi je les ai écoutés ces voix d'ailleurs... Par peur ? Par amour ? Par dépit ? Par inconscience ? Ou bien est ce tout était prédéterminé ? Quelque chose dans l'idée du destin, de quelque chose que l'on ne cautionne pas mais qui se feras quand même, ton absence, ma dépendance de ton sourire froid, quelque chose que je n'ai jamais vu, et que je ne verrais pas, et qui restera dans ma tête, pour toujours , et puis après tout pourquoi ne pas se rebeller ? Pourquoi ne pas se mettre comme ça d'un coup à haïr un dieu en lequel plus personne ne croit, lui et toute ces conneries, oh et puis non, à quoi bon se battre quand l'espoir dans un cœur est mort ? Quand dans son ciel on n'est même plus capable d’apercevoir un putain de rayon de soleil ? C'est que le soleil ne te regardes pas après tout... alors pourquoi chercher à ce qu'il te regardes ? C'est complètement con ! D'ailleurs c'est toujours complètement con mes idées, ce sont des choses futiles, et inutiles, les choses d'un peureux aussi, qui à toujours voulu parler, et qui n'a jamais agis... Et nous savons tous les deux qu'avec toi je n'agirais pas. Moi je n'ai pas les capacités de me battre pour mes rêves."